• Bravo à ma fifille en 3ème qui a eu 34/40 (17/20) avec un récit au brevet blanc de français

    - sujet d'imagination-

    Bien que dyslexique dysorthographique, donc récit avec des fautes (non comptabilisées, bien heureusement, grâce à son PAP (Plan d'Accompagnement Personnalisé), tenant compte de ce problème), elle a réussi à obtenir cette note grâce à

    une construction très subtile et intelligente de son récit. 

     

    LE SUJET :

    "Jamais je n'oublierai ...."

    A votre tour, racontez un souvenir marquant, dramatique, heureux ou inquiétant. Ce souvenir pourra être réel ou fictif.

    Vous mettrez en particulier l'accent sur les émotions du narrateur et le caractère inoubliable de ce souvenir.

    Tout effort de travail sur le style sera valorisé.

     

     

    Je remets son écrit - avec correction des fautes au passage...

     

     

    via GIFER

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  • Lettre d'un vieil homme à son fils 

    (souvenir de ce texte partagé par mon cher ami Alain décédé en 2019 et qui avait 3 fils).

     le temps perdu ne se rattrape plus ...   

     

    PÈRE ET FILS 

     

     

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  • Etes-vous d'accord avec cette citation de René Bazin ?

    "Etre jeune, cela signifie être enthousiaste, non pas optimiste, car l'optimisme est une myopie, être enthousiaste, c'est-à-dire avoir un esprit qui calcule et un cœur qui ne calcule pas.


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  • BONNE ANNÉE 2019

    Résultat de recherche d'images pour "gifs cotillons"

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  • Ile - La Corse

     

    Ma Corse mon amour

    Ile de mes plus beaux jours

    Elle me manque toujours ...

     

     

    Chante, I muvrini,

    La liberté pour ton peuple,

    Si longtemps souhaitée...

     

    Figatellu, Brocciu,

    Délicieux pour nos papilles,

    Inimitables.

     

     

     

     


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  • Thème choisit par Violette : LE VIN.

    Voici mes choix :

     - Jean Richepin - "Poivrot"

    - Charles Baudelaire - "Le Vin de l'Assassin" - de son recueil "Les fleurs du mal" - 

     ça change de "l'Albatros" que, tous, je pense, nous avons dû réciter dans notre jeunesse ! 

    Poivrot

    Jean Richepain (mais non le pain des pauvres ! et il f'rait bien d'en manger un peu, du pain, pour éponger un peu tout ce vin !)

    Eh ben ! oui, j’ suis bu. Et puis, quoi ?
    Que qu’ vous m’voulez, messieurs d’la rousse ?
    Est-ç’ que vous n’aimez pas comm’ moi
    Àvous rincer la gargarousse ?

    Voyez-vous, frangins, eh ! sergots,
    Faut êt’ bon pour l’espèce humaine.
    D’vant l’ pivois les homm’s sont égaux.
    D’ailleurs j’ai massé tout’ la s’maine.

    (Tu sais, j’ dis ça à ton copain,
    Pa’ç’que j’vois qu’ c’est un gonç’ qui boude.
    Mais entre nous, mon vieux lapin,
    J’ai jamais massé qu’à l’ver l’coude.)

    Après six jours entiers d’turbin,
    J’ me sentais la gueule un peu sale.
    Vrai, j’avais besoin d’ prend’ un bain ;
    Seul’ment j’l’ai pris par l’amygdale.

    J’ sais ben c’ que vous m’ dit’s : qu’il est tard,
    Que j’ baloche et que j’ vagabonde.
    Mais j’ suis tranquill’ j’ fais pas d’pétard.
    Et j’ crois qu’ la rue est à tout l’ monde.

    Les pant’s sont couchés dans leurs pieux,
    Par conséquent je n’ gên’ personne.
    Laissez-moi donc ! j’ suis un pauv’ vieux.
    Où qu’ vous m’emm’nez, messieurs d’la sonne ?

    Quoi ? vrai! vous allez m’ ramasser ?
    Ah ! c’est muf! Mais quoi qu’on y gagne !
    J’m’en vas vous empêcher d’pioncer.
    J’ ronfle comme un’ toupi’ d’All’magne.

    Jean Richepin, La chanson des gueux, 1881

     

    Le Vin de l’Assassin

    Charles Baudelaire (Bat de l'air ...? Bat sa femme ? Loin du bat...ifolage...  à cette dernière .. en ... HUM ..Hommage ... Un poème sur son Bafouage ... Point de balivernes... Devenir scélérat plutôt que supporter ce poids ....son!....

    Ah ! l'a .. mour ... HUM ...)

     

    Ma femme est morte, je suis libre !
    Je puis donc boire tout mon soûl.
    Lorsque je rentrais sans un sou,
    Ses cris me déchiraient la fibre.

    Autant qu’un roi je suis heureux ;
    L’air est pur, le ciel admirable…
    Nous avions un été semblable
    Lorsque j’en devins amoureux !

    L’horrible soif qui me déchire
    Aurait besoin pour s’assouvir
    D’autant de vin qu’en peut tenir
    Son tombeau ; – ce n’est pas peu dire :

    Je l’ai jetée au fond d’un puits,
    Et j’ai même poussé sur elle
    Tous les pavés de la margelle.
    – Je l’oublierai si je le puis !

    Au nom des serments de tendresse,
    Dont rien ne peut nous délier,
    Et pour nous réconcilier
    Comme au beau temps de notre ivresse,

    J’implorai d’elle un rendez-vous,
    Le soir, sur une route obscure.
    Elle y vint ! – folle créature !
    Nous sommes tous plus ou moins fous !

    Elle était encore jolie,
    Quoique bien fatiguée ! et moi,
    Je l’aimais trop ! voilà pourquoi
    Je lui dis : Sors de cette vie !

    Nul ne peut me comprendre. Un seul
    Parmi ces ivrognes stupides
    Songea-t-il dans ses nuits morbides
    À faire du vin un linceul ?

    Cette crapule invulnérable
    Comme les machines de fer
    Jamais, ni l’été ni l’hiver,
    N’a connu l’amour véritable,

    Avec ses noirs enchantements,
    Son cortège infernal d’alarmes,
    Ses fioles de poison, ses larmes,
    Ses bruits de chaîne et d’ossements !

    – Me voilà libre et solitaire !
    Je serai ce soir ivre mort ;
    Alors, sans peur et sans remord,
    Je me coucherai sur la terre,

    Et je dormirai comme un chien !
    Le chariot aux lourdes roues
    Chargé de pierres et de boues,
    Le wagon enragé peut bien

    Écraser ma tête coupable
    Ou me couper par le milieu,
    Je m’en moque comme de Dieu,
    Du Diable ou de la Sainte Table !

    Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857


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  • Pour lydie ce mardi, un poème connu sur la mer... thème proposé par Covix.

    J'ai beaucoup aimé un poème de Victor Hugo...

    Dont je ne mettrai ici que le début car très long...

    Et ensuite un auteur moins connu ... je le découvre avec le poème qui suivra le premier...

     

    Soirée en mer

    Victor Hugo

    Près du pêcheur qui ruisselle,
    Quand tous deux, au jour baissant,
    Nous errons dans la nacelle,
    Laissant chanter l’homme frêle
    Et gémir le flot puissant ;

    Sous l’abri que font les voiles
    Lorsque nous nous asseyons,
    Dans cette ombre où tu te voiles
    Quand ton regard aux étoiles
    Semble cueillir des rayons ;

    Quand tous deux nous croyons lire
    Ce que la nature écrit,
    Réponds, ô toi que j’admire,
    D’ où vient que mon cœur soupire ?
    D’ où vient que ton front sourit ?

    Dis ? d’où vient qu’à chaque lame,
    Comme une coupe de fiel,
    La pensée emplit mon âme ?
    C’est que moi je vois la rame
    Tandis que tu vois le ciel !

    C’est que je vois les flots sombres,
    Toi, les astres enchantés !
    C’est que, perdu dans leurs nombres,
    Hélas, je compte les ombres
    Quand tu comptes les clartés ! [ suite ...

    Sardines à l’huile

    Georges Fourest

    Dans leur cercueil de fer-blanc
    plein d’huile au puant relent
    marinent décapités
    ces petits corps argentés
    pareils aux guillotinés
    là-bas au champ des navets !
    Elles ont vu les mers, les
    côtes grises de Thulé,
    sous les brumes argentées
    la Mer du Nord enchantée…
    Maintenant dans le fer-blanc
    et l’huile au puant relent
    de toxiques restaurants
    les servent à leurs clients !
    Mais loin derrière la nue
    leur pauvre âmette ingénue
    dit sa muette chanson
    au Paradis-des-poissons,
    une mer fraîche et lunaire
    pâle comme un poitrinaire,
    la Mer de Sérénité
    aux longs reflets argentés
    où durant l’éternité,
    sans plus craindre jamais les
    cormorans et les filets,
    après leur mort nageront
    tous les bons petits poissons !…

    Sans voix, sans mains, sans genoux
    sardines, priez pour nous !…

    Georges Fourest (1867-1945)


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  • Thème imposé par Violette pour la poésie ce mardi : manèges.

      

    J'ai fait une belle découverte avec cette auteure - J'aime !!

    Je vous fait partager ce très joli poème.

    Merci madame !

     

    SON SITE : http://poemes-provence.fr/le-manege/

     

     LE MANEGE 

    Venu pendant la nuit du Royaume des Fées,
    Un manège doré s’est posé près du Pont
    Et les petits enfants sont tous là à bader,
    Contemplant la merveille avec des yeux tout ronds.

    Car le Monde Enchanté qu’ils ont vu dans leurs livres
    Tourne en grands tourbillons, virevolte sans trêve,
    Valse, tournoie et va comme s’il était ivre.
    Les petits ébahis sont plongés dans un rêve

    Dont ils sont les héros vaillants et généreux
    Pourfendant l’ennemi sur leurs chevaux de bois
    Ou dans leur castelet surmonté d’un dais bleu.
    Ils sont fous de bonheur et donnent de la voix.

    Le mistral est grognon. N’aimant pas le chahut
    Ni les beaux carrousels ni les petits enfants,
    Et pour être bien sûr qu’on ne l’embête plus,
    Il a tout emporté dans son souffle dément.

    Mais les minots ravis de faire un beau voyage,
    De voguer dans les airs comme à bord d’un avion,
    Se sont tous mis à faire un bien plus grand tapage.
    Et le vent fou furieux se sentant tout couillon

    A tout redéposé près du pont d’Avignon !

     

    VETTE DE FONCLARE


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  • Ecrit n° 4/4 que ma maman souhaitait partager sur mon blog.

    Je vous le livre donc. Juste quelques  petits changements (phrases avec un *)  effectués - elle m'excusera mais je le sentais mieux ainsi...

     

    ABSTRACTION

     

    Figer l'action, figer l'instant !

    La pulsation - l'esprit ouvert !

    A la fois à l'écoute de son moi intérieur

    et communiant en cœur avec  tout l'univers*. 

     

    Arrêter le mouvement

    A son point d'équilibre.

    Suggérer l'instant, l'action !

     

    Que la tension ou la douceur *

    puisse prendre place

    dans nos âmes et nos cœurs

    que parle l'infini

    et vienne l'extase.

     

    Tout est dit, tout est permis.

    L'évasion - Le déni !

     

    Selon vôtre âme et vôtre envie*

    Cheminez, cheminez, gens ravis *

    Vers la voie qui vous conviendra...*

    L'être humain n'étant que son seul ennemi*

    C'est  lui seul qui oui  ou non se perdra*

    A chacun son  "aura" ...! *

    © Yvonne F. GUIZARD (GUIZ'ART) et Christelle F. - 2016 

     

    AUTRES ECRITS DE MA MAMAN SUR MON BLOG :

    L'art 

    Je suis un élément du monde 

    - Parler pour mieux garder le silence

    .


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  • Chers lecteurs et lectrices, blogueuses amies, je vais vous faire partager pour les quatre prochains articles quatre écrits de ma maman, artiste-peintre et depuis quelques années sculptrice également, diplomée des beaux-arts de Nice (06). 

    Elle souhaite les partager sur mon blog. Aussi le fais-je avec plaisir.

    Je vous laisse découvrir ces derniers.

    Petit tableau en rapport avec l'été, la mer ... qu'elle a peint il y a quelque temps

     ce n'est pas ce qu'elle préfère peindre cela dit mais il sied à cette période de l'année alors je le partage

     Ce sera un préambule pour son écrit sur "l'Art" :

    voilier voguant sur la mer par beau temps

    © Yvonne F. GUIZARD - Artiste-peintre - Marseillan (34)

     

    3/4                    L'ART

     

                         La toile blanche : tout espoir est permis.

                                    Tout comme la plume, elle frémit.

                                                                                 Suivant "l'inspir", s'accumule le plaisir.

     

    Courent, courent en bouquet

    Les ondes fleuries et chatoyantes

    La prose émaillée de perles cinglantes !

     

                      Que perçois-tu, toi, l'amateur ?

                      Ta contemplation est notre récompense.

                                                                                             Enfin comprend et communique

                                                                                                  Toi l'auteur ! Toi "Lou Pintre".

     

    L'art en soi, majeur ou mineur,

    Ecrit, pictural ou musical,

    Se confond pour faire jaillir en nous

    Les vibrations les plus tenaces :

     

    La perception - L'objet de la poésie.

     

    © Yvonne F. GUIZARD (GUIZ'ART)- 2016 

     

     

    AUTRES ECRITS DE MA MAMAN SUR MON BLOG :

    - Parler pour mieux garder le silence

    Je suis un élément du monde 

    Abstraction

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  • Chers lecteurs et lectrices, blogueuses amies, je vais vous faire partager pour les quatre prochains articles quatre écrits de ma maman. 

    Elle souhaite les partager sur mon blog. Aussi le fais-je avec plaisir.

    Je vous laisse découvrir ces derniers.

     

    Je suis un élément du monde

    (écrit n°2 de ma maman)

     

    Parmi la stratosphère,

    L'indicible élément,

    Le petit vermisseau

    que je suis, délibère !!

     

    Quel outrage ! Quelle affaire !

    Le petit vermisseau veut égaler Rimbaud ??

    Mais non ! je n'en n'ai cure !

     

    M'interroge, sans préambule

    Sur la rocambolesque et l'inégalable nature

    qui fait que l'harmonie du tout

    est, ce me semble, un peu mal foutue

    en mon être ! et peut-être risque

    de perturber un si bel ouvrage.

     

    Tout me paraissant à ce point sublime

    et complètement complémentaire en ce monde

    si ce n'est la nature humaine

    Si belliqueuse, prétentieuse et vaine !

    L'homme étant le pire et le meilleur

    Comment cet élément gérera notre ailleurs.

     

     

    © Yvonne F. GUIZARD (GUIZ'ART)- 2016

     

     

    AUTRES ECRITS DE MA MAMAN SUR MON BLOG :

    L'art 

    - Parler pour mieux garder le silence

    Abstraction 

     

     

     

     


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  •  Chers lecteurs et lectrices, blogueuses amies, je vais vous faire partager pour les quatre prochains articles quatre écrits de ma maman. 

    Elle souhaite les partager sur mon blog. Aussi le fais-je avec plaisir.

    Je vous laisse découvrir ces derniers.

     

    Précision : l'écrit est fait pour un auditoire, en l'occurrence, 

    ses collègues de peinture,

    puisqu'elle est artiste peintre sur Marseillan (34),

    après avoir fait parti des artistes peintres Agathois (Commune d'Agde)

     34 - Languedoc-Roussillon. 

     

     

    1/4         PARLER POUR MIEUX GARDER LE SILENCE

     

    Collègues : "Tu parles trop, à tord et à travers".

    Ma maman : "Mais non, mais non, c'est un revers.

    Pour attirer sur soi l'attention improbable

    de l'assistance au regard austère."

     

    Collègues : "Oh la la ! Quelle pie !

    Elle saoule...!"

    Ma maman : "Mais non, mais non, elle crève d'ennui,

    de solitude et d'oubli."

     

    ---

     

    Pourquoi les uns sont calmes

    et les autres bouillants 

    comme des vraies cocottes ?

    Peut-être pour rappeler

    Que :

     

    De la parole jaillit l'échange

    Du langage jaillit la vie 

    De la vie jaillit l'amour !

    Pour finir par se taire

    Rassasié en retour.

     

    © Yvonne F. GUIZARD (GUIZ'ART)- 2016

     

     

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    Abstraction

     


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  •  

    EDUCATION 

     

    Il faut faire preuve de plus de douceur envers ses enfants,

    c'est la meilleure façon de les faire écouter.

    Gronder sans cesse ne fait qu'encourager

    leur entêtement ou leur indifférence.

    =

    "La cithare est docile à de molles pressions,

    mais elle répond de façon discordante à qui l'interroge avec violence"

    (Homère). 

     

     


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  • C'est superbe. 

    J'y suis sensible du moins.

    Musique Corse.

    Peut-être est-ce parce-que j'y ai vécu quelques années ...

    Pensée pour notre amie Fanfan la Corse 

     

     

     

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  • Jeu du samedi chez lady - extraits de livres à joindre entre eux.

     

    Will : coeur vaillant

    A la fin de l’année 1850 s’abattit une des pires gelées que l’on vit jamais dans ses contrées(*1).

    Quand il voulut dire adieu à Odette pour rentrer elle lui demanda de rester encore et le retint même vivement en lui prenant le bras (*2 ) et, même si  le grand Will avait écouté les accusations portées par les lépreux contre la femme blanche (*3)) il avait dit ces mots : «Je suis incapable de fuir les gens qui ont besoin de moi. Tel est mon destin. » (*4).

    Sauver la lépreuse dont il était amoureux ou les personnes prises dans les gelées ? Tel était le dilemme de Will.

    Un quart d’heure plus tard, le calme complet était revenu sur la place (*5).

    Les femmes et les enfants enfin prêts, les vantaux du grand portail de la troisième enceinte s’ouvrirent (*6.).

    La tristesse se lisait sur les visages. Les récoltes étaient perdues.

    Cependant, ils croyaient toujours en Dieu et disaient : «  Le Seigneur n’est pas à l’origine de nos souffrances et de nos peines. Il est avec ceux qui souffrent et qui peinent. Il est souffrance et peine. »(*7)

    Extraits du texte tirés des livres suivants :

    *1 - Fille du destin - Isabelle Allende

    *2 - Un amour de Swann – Marcel Proust

    *3 - Guy des cars -  l’impure

    *4 - Ken Follett – Un monde sans fin

    *5 - La nuit du sérail – Michel de Grèce

    *6 - La femme sacrée – Michel de Grèce

    *7  - Les Pérégrines – Jeanne Bourin

    Les mots soulignés étant ceux ajoutés pour lier les phrases.

     


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